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15 mars 2012 4 15 /03 /mars /2012 19:44

 Le négativeur de Marion

La négativation électrique: voilà pourquoi il vaut mieux se balader pieds-nus sur le sol.

Dr Valnet in « L’Aromathérapie » p. 479-482

La négativation électrique

Au chapitre 8 des observations, le lecteur a rencontré plusieurs fois le nom de cette remarquable méthode encore insuffisamment employée, que j'utilise dans de nombreux syndromes depuis 1954, date à laquelle je l'ai découverte sous une épaisse couche de poussière datant de quinze ans. Le Dr Albert Leprince, aujourd'hui disparu, m'a beaucoup aidé dans cette détermination. Parmi les nombreux ouvrages qu'il a publiés sur les sujets les plus divers, beaucoup viennent des éditions Dangles à Paris.
 Les médecins auraient intérêt à les lire.
J'ai parlé de la négativation électrique à de nombreuses reprises. Voici ce qu'il faut en connaître car elle sera souvent heureusement associée à l'aro­mathérapie, à la phytothérapie comme à d'autres traitements.
Depuis quelques années, se propagent diverses publications sur les ions négatifs nécessaires à la vie. Il s'agit des ions aériens dont l'atmosphère des montagnes est riche, phénomène connu depuis longtemps. Mais cet air ionisé artificiellement n'a pu être obtenu que depuis peu, grâce à l'évolution des techniques électroniques.
Il est vraisemblable que les affections dues aux changements de saison. aux influences climatiques, cosmo-telluriques sont relatives à plusieurs facteurs. On sait que les épidémies ne surviennent pas n'im­porte quand et n'importe où, qu'à certaines époques on meurt beaucoup plus d'infarctus, qu'on a signalé depuis des siècles des épidémies d'hémorroïdes. Nous avons pu observer des épidémies de phlébites, de thromboses d'une façon générale.
Parmi ces facteurs favorisants figurent la tempé­rature, le degré hygrométrique, les dépressions barométriques, et combien d'autres que les chercheurs tentent de toujours mieux préciser. Il parait indubitable que l'ionisation de l'air fait partie de ces composantes. On connaît la pathologie due au foehn, ce vent sec et chaud en Suisse, et le «syndrome du vent du Midi » dans la vallée du Rhône (Dr Mouriquand de Lyon, il y a 40-50 ans) : à certaines époques dans les crèches, tous les enfants pleurent, crient, hurlent, ont de la fièvre. Tous ces phénomènes disparaissent quand le vent s'est calmé.
La quantité des ions aériens est variable :
— 1 000-2 000 par cc en campagne, 3000-4000 en montagne.
— En ville : 150-450 ; dans les locaux fermés : 50-60. Mais ici, il ne s'agit pas  de l'ionisation négative aérienne.
La négativation électrique, objet de ce chapitre, est d'une tout autre essence.
Principe :
Redonner aux cellules les charges négatives qu'elles ont perdues dans certains états de maladies : maladies dégénératives, affections cardiovasculaires, névroses, arthroses, dystonies neurovégétatives, états cancéreux...
L'expérience clinique animale et humaine, portant sur des milliers de cas, a démontré le bien-fondé de la théorie (appuyée par des examens de labo­ratoires, des contrôles radiographiques...).
Il s'agit de doses infimes d'impulsions rythmées et modulées d'électricité négative.
Il faut rappeler les travaux de d'Arsonval sur le muscle dès 1827, de Kôlliker et Müller en 1856, de Lippmann en 1873 sur les courants électriques du cœur.
Charles Laville confirma, dès 1922, les données de ses prédécesseurs et attira l'attention sur l'exis­tence de courants électriques dans le milieu cellu­laire, ou plus exactement de déplacements de charges.
La théorie classique thermodynamique de Lavoisier se trouvait remplacée par la théorie électrodynamique.
On sait que les corps sont formés d'électrons, corpuscules infiniment petits de charge électrique négative, groupés diversement autour de noyaux de charge positive qui les retiennent, autour desquels ils gravitent mais auxquels ils peuvent échapper.
Tous les phénomènes physico-chimiques s'accom­pagnent de transferts d'électrons.
L'équilibre biologique est un phénomène de nature électrique. Dans l'oxydation, la charge positive d'un ion augmente, c'est-à-dire que sa charge négative diminue.
La nature humaine est soumise à des rythmes biologiques inéluctables, cadence du pouls, fré­quence respiratoire, rythmes menstruels..., réglant notre équilibre. Ces cadences sont de nature vibra­toire. Tous les chocs, physiques ou psychiques, engendrent des charges positives. Le système nerveux a pour rôle d'adapter l'organisme à ces chocs... tant que l'agression ne dépasse pas un certain seuil pour un individu donné.
 
L'homme en bonne santé est électrisé néga­tivement. Mais dans l'état pathologique, il s'électrise positivement en perdant des électrons (exemple, le nervosisme des enfants... ou des adultes : marcher pieds nus sur la terre, dans la rosée du matin, est un traitement efficace).
Les travaux de Ch. Laville ont permis la mise au point d'un appareil connu sous la dénomi­nation de « négativateur électrique ». Son promoteur a voulu réaliser un mode d'électricité possédant les mêmes caractéristiques (forme, tension, intensité) que celui agissant dans l'ensemble de notre vie cellulaire. On sait maintenant qu'il s'agit de formes e exponentielles » d'une micro-énergie électrique. Ch. Laville a été le premier à en apporter la révélation et a eu la satisfaction de constater que se vues, très en avance à l'époque où elles ont été publiées, ont été depuis confirmées, en particulier par des travaux américains (K.S. Cole, H.J. Curtiss, A.I. Hodgkin, Lorente de No, etc.) par F. Boha­tichek et d'autres auteurs de différents pays. II m'adressa, à ce propos, un très intéressant courrier il y a plus de vingt ans, peu de temps avant de mourir dans sa 88e année.
 
Il y a plus d'un demi-siècle que Ch. Laville créa le premier appareil qui donna heu à de nombreuses expérimentations animales et humaines (en particulier à Maisons-Alfort et à l'hôpital Beaujon). Depuis une dizaine d'années, cet appareil ne se fabrique plus, mais celui qui l'a remplacé• bénéficie de conceptions plus modernes.
Dans ses premières expérimentations animales, soucieux d'éviter aux sujets toute réaction désagréable, Ch. Laville avait utilisé des doses infimes d'électricité, doses physiologiques à bas potentiel tendant à reproduire les caractéristiques de tension, quantité et forme des charges normales de l'organisme (tension très basse, entre 5 et 7 volts, intensité inférieure au millionième d'ampère alors que les quantités les plus faibles d'électricité habituellement employées sont de l'ordre du milliampère, donc I 000 à 1 000 000 de fois plus élevées).
Ce sont toujours les caractéristiques de l'appareil de négativation Marion. Ainsi a-t-on pu dire, à juste titre, qu'il s'agit d'une homéopathie électrique.
En pratique :
Le sujet traité (allongé ou assis) n'a aucune perception (en général, il s'endort...). Comment sait-on que le courant passe et agit ? En l'écoutant grâce au jack. Quel que soit le point où l'on place ce dernier, sur n'importe quelle partie du corps, on entend le bruit caractéristique de crépitement régulier prouvant que tout l'organisme est traité, qu'il y a une imprégnation totale alors que le sujet tient son électrode cylindrique dans la main, ou qu'on applique l'électrode circulaire sur un point douloureux.
Comme l'état de sujet peut se modifier en cours de traitement, il convient d'écouter environ toutes les 5 minutes pour adapter éventuellement le trai­tement par un simple réglage. Il s'agit donc d'un traitement physiologique sur mesure.
Rythme des séances :
      3 à 5 par semaine, de 15 à 30 minutes, parfois une heure ;
      séries de 15 à 25 à renouveler, selon les cas, 3 ou 4 fois par an.
1. En général : électrode cylindrique dans la main.
 
2. Sur régions douloureuses : l'électrode circulaire plate ou tampon (sciatique) in situ ou sur    les correspondances vertébrales (travaux d'Abrams, de Sambucy).
   Un tableau des correspondances vertèbres-organes par zones a été établi pour positionner les   électrodes avec un maximum d'efficacité (il peut être demandé aux Ets Marion C.P.). Par exemple :
-        L I - L 2 pour constipation atonique ;
      D 11 - D 12 pour constipation spasmodique ;
-        C 7 - D 3 pour les extrasystoles.
Indications de la négativation électrique :
Employée seule ou en association avec d'autres moyens de traitement, la négativation électrique est indiquée dans de nombreux syndromes :
      fatigue générale, patraquerie habituelle ; dystonies neuro-végétatives : vertiges, bourdonnements d'oreilles, nervosisme, anxiété, irritabilité,       palpitations, insomnies,   spasmes divers (abdominaux, vasculaires,        migraines...); troubles digestifs : dyspepsies, atonie gastrique, gastro-entérites, colite, constipation spasmodique ou atonique ;
      hépatisme, troubles vésiculaires et du carrefour (vésicule atonique ou  hypertonique, péridu­dénites);
      troubles respiratoires : asthme, coryza spasmodique ;troubles circulatoires   et    cardiaques : hypertension artérielle, tachycardie paroxystique, syn­      dromes artéritiques ;
      troubles endocriniens : goitre exophtalmique, règles douloureuses,     diabète;
---      affections cutanées : urticaire, prurit, certains eczémas ; cicatrices      vicieuses et          douloureuses; algies diverses : douleurs rhumatismales, dou­     leurs vertébrales,   sciatique, névralgies inter­costales... ;
      douleurs post-traumatiques; oedèmes accompagnant les traumatismes ou    les affections          rhumatismales ;
      céphalées ;certaines névroses : angoisses, psychasthénie, pessimisme,         obsession ;
 
---       états précancéreux, cancéroses.
Aucune contre-indication.
Les traitements associés sont possibles, et généralement souhaitables. Mais il faut savoir que la négativation électrique potentialise l'action des médicaments : donc attention aux produits toxiques éventuellement prescrits, dont il conviendra de diminuer les doses si on ne peut les supprimer.
 
Réalisation et documents :
 MERCI A CROCO31, discret mais efficace bienfaiteur de l'humanité !
 

MERCI A ELEMENTERRE !

http://www.esprit-de-la-nature.fr/geobiologie/geobiologie-charles-laville-mecanismes-biologiques-t153.html

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commentaires

M
Bonjour,<br /> votre arthrodèse n'est pas un obstacle, cet appareil est même utilisable avec un stimulateur cardiaque.<br /> Les raisons : il n'y a pas de circulation de courant à proprement parler - l'utilisateur est seulement en contact avec l'électrode négative qui délivre une tension très basse, entre 7 et 9 volts à une intensité inférieure au millionième d'ampère !<br /> Vous pouvez essayer sans crainte
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H
Bonjour, puis-je utiliser cet appareil alors que j'ai une arthrodèse S1-L5 (prothèse) ? avec mes remerciements, bien cordialement
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S
Bonjour,<br /> Existe-t-il des appareils de négativation identiques que l'on peut trouver aujourd'hui sur le marché ?<br /> merci de votre réponse
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S
je ne connais pas de remplaçant du négativeur de Marion, mais les zappers doivent bien repolariser là où il y en a besoin
S
Il n'en existe pas d'autre à ma connaissance
A
merci beaucoup pour la reproduction des commentaires du docteur valnet. je dispose de son livre &quot; docteur nature&quot; je dispose également d'un appareil marion mais cette maison n'existe plus et pour les pièces de rechange adieu!! merci
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S
Merci à vous . Je vous suggère d'aller voir Croco31 sur Conspiroviscience pour le flip. Appareil impossible à monter quand on a de gros doigts...